Genève: L’Iran s’appuie sur la surveillance électronique et le public pour informer les femmes refusant de porter le foulard obligatoire en public, a indiqué vendredi un rapport des Nations Unies.
Les conclusions de la mission internationale d’worldwide indépendante sur la République islamique d’Iran sont venues après avoir déterminé l’année dernière que la théocratie du pays était responsable de la « violence physique » qui a conduit à la mort de Mahsa Amini.
Dans le rapport, les enquêteurs de l’ONU décrivent remark l’Iran s’appuie de plus en plus sur la surveillance électronique. Parmi les efforts, citons les responsables iraniens déploiement de la « surveillance des drones aériens » pour surveiller les femmes dans les lieux publics. À l’Université Amirkabir de Téhéran, les autorités ont déployé des caméras et des logiciels de reconnaissance faciale pour découvrir qui ne porte pas le hijab. On pense également que des caméras de surveillance sur les principales routes iraniennes sont impliquées dans la recherche de femmes découvertes.
L’utility de téléphonie cellular « Nazer » offerte par la police iranienne permet au public de faire rapport sur les femmes découvertes.