Le Département d’État américain a récemment réaffirmé son engagement à stricter l’utility de l’immigration par le biais de son compte officiel «X», soulignant que le dépistage du visa ne s’arrête pas après la délivrance d’un visa. Il a déclaré que les titulaires de visa sont surveillés en permanence pour garantir le respect de toutes les lois américaines et règles d’immigration, avertissant que ceux qui ne respectent pas le risque de faire révoquer leur visa et de faire face à l’expulsion.
Cet examen approfondi a particulièrement affecté les Indiens Porteurs de cartes vertesen particulier les personnes âgées qui passent des périodes prolongées en Inde pendant les mois d’hiver. Les rapports indiquent que les brokers des douanes et de la safety des frontières américains (CBP) ont fait pression sur ces personnes dans les aéroports pour signer le formulaire I-407, qui abandonne volontairement leur résidence permanente. Ceux qui résistent auraient été menacés de détention ou d’expulsion.
La répression fait suite à une série de décrets exécutifs liés à l’immigration émis par le président Donald Trump après son retour à la Maison Blanche. De plus, vice-président JD Vance a souligné qu’une carte verte ne garantit pas la résidence indéfinie, indiquant dans une interview avec Fox Information que même s’il avait une opinion favorable sur un titulaire de carte verte, l’individu n’avait toujours pas le droit indéfini de rester aux États-Unis.
Une carte verte, ou everlasting Carte résidenteaccorde à un individu le droit de vivre et de travailler en permanence aux États-Unis. Cependant, les actions récentes suggèrent que le gouvernement impose des circumstances plus strictes à ceux qui ne répondent pas aux exigences de résidence, laissant de nombreux détenteurs de cartes vertes indiennes incertaines de leur statut.
Porte-cartes vertes sous un examen approfondi
Le Département d’État a réitéré sa place difficile sur la conformité au visa et à la résidence, avertissant que le dépistage du visa se poursuit même après la publication. Les fonctionnaires ont souligné que ceux qui violaient les lois américaines ou les règles d’immigration risquent que leurs visas soient révoqués et déportés.
Ce changement a conduit à une obscure d’anxiété chez les résidents permanents indiens, en particulier les détenteurs de cartes vertes âgées. Les rapports indiquent que les officiers du CBP ont ciblé ces personnes à leur retour, les faisant pression pour signer le formulaire I-407. Beaucoup de ceux qui ont résisté auraient dû faire face à des menaces de détention ou de déportation, créant ce que certains décrivent comme un « règne de terreur » pour les détenteurs de cartes vertes indiennes.
Une répression d’immigration plus giant
Cette utility agressive fait partie d’une poussée plus importante par le Atout administration. Dans les semaines suivant la reprise du bureau, Trump a publié une série de décrets visant à resserrer les politiques d’immigration, poursuivant sa place dure de son premier mandat.
Le vice-président JD Vance a fait écho à l’avis de l’administration selon laquelle les détenteurs de cartes vertes ne devraient pas assumer des droits indéfinis pour rester aux États-Unis. Il a souligné que la tenue d’une carte verte ne fournit pas une garantie absolue de résidence, renforçant les préoccupations que les résidents permanents doivent marcher soigneusement pour maintenir leur statut juridique.
L’indiction accrue intervient au milieu d’une tendance plus giant de la rhétorique anti-immigration qui gagne du terrain à Washington. Les conservateurs de la ligne dure ont poussé à des politiques, ce qui rend plus difficile pour les immigrants – documentés et sans papiers – de rester dans le pays, citant des problèmes de sécurité économique et nationale.
Ciblant les détenteurs de cartes vertes âgées
Alors que les nouvelles mesures affectent tous les détenteurs de cartes vertes, les immigrants indiens âgés semblent être affectés de manière disproportionnée. Beaucoup dans ce groupe démographique divisent leur temps entre les États-Unis et l’Inde, passant souvent les mois les plus froids dans leur pays d’origine avant de retourner aux États-Unis. Cependant, les responsables ont commencé à interpréter des séjours prolongés à l’étranger comme une indication que ces personnes n’ont plus l’intention de résider en permanence aux États-Unis.
Auparavant, les titulaires de cartes vertes qui ont passé plus de six mois à l’étranger ont risqué des questions supplémentaires à leur retour. Maintenant, même ceux qui voyagent pour des durées plus courtes ont déclaré faire face à l’intimidation dans les aéroports américains. Certains affirment que les officiers du CBP ont suggéré de manière agressive qu’ils signent le formulaire I-407, ce qui implique que le non-respect pourrait entraîner une détention immédiate ou une expulsion forcée.
Pour beaucoup, cette campagne de pression les a laissées piégées – sans visiter librement leur patrie sans risquer leur statut aux États-Unis. Ceux qui vivent dans le pays depuis des décennies, ont construit des vies et ont contribué à la société sont désormais traités avec suspicion simplement pour maintenir des liens avec leur pays de naissance.
Le level de vue juridique
Les avocats de l’immigration ont soulevé des inquiétudes quant à ce qu’ils considèrent comme un excessif des officiers du CBP. Bien que la loi autorise les titulaires de cartes vertes à passer du temps limité en dehors des États-Unis, la pression croissante pour abandonner la résidence suggère un changement de politique non officiel. Les consultants juridiques avertissent que les brokers ne peuvent pas faire signer quelqu’un de pressure le formulaire I-407, mais de nombreux immigrants âgés, intimidés par des menaces, peuvent penser qu’ils n’ont pas le choix.
Plusieurs groupes de plaidoyer ont exhorté les titulaires de cartes vertes à comprendre leurs droits. Il est conseillé à ceux qui sont confrontés à la coercition à la frontière de refuser de signer le formulaire I-407 et d’insister à la place pour parler avec un avocat. Cependant, de nombreux voyageurs – en particulier ceux qui ne connaissent pas les lois sur l’immigration américaines ou l’anglais courant – se sont retrouvés submergés par la state of affairs.
Un effet effrayant sur l’immigration indienne

Cette répression a envoyé des ondes de choc à travers la diaspora indienne aux États-Unis. De nombreux détenteurs de cartes vertes qui avaient auparavant envisagé de demander la citoyenneté américaine accélèrent désormais leurs plans, craignant que la résidence permanente ne soit plus aussi sûre qu’elles le pensaient autrefois. D’autres reconsident leur avenir à lengthy terme aux États-Unis, se demandant s’ils seront jamais vraiment acceptés.
L’Inde a toujours été l’une des plus grandes sources d’immigrants légaux aux États-Unis, dont beaucoup arrivent sur des visas basés sur l’emploi avant de passer à la résidence permanente. Cependant, l’incertitude entourant les détenteurs de cartes vertes a jeté une ombre sur ce pipeline. Les immigrants potentiels sont désormais confrontés à la réalité que même la sécurisation de résidence permanente ne garantit pas la stabilité dans un climat d’immigration de plus en plus hostile.
Implications politiques et économiques
La répression contre les détenteurs de cartes vertes indiennes a des implications politiques et économiques plus larges. La communauté indienne-américaine a traditionnellement été un bloc de vote influent, en particulier dans les États swing comme la Géorgie et la Pennsylvanie. Si la notion se développe selon laquelle l’administration républicaine cible les immigrants indiens, il pourrait avoir des conséquences électorales.
Sur le plan économique, les professionnels indiens jouent un rôle essential dans les secteurs de la technologie et des soins de santé américains. De nombreuses entreprises comptent sur des travailleurs qualifiés de l’Inde, et si les politiques d’immigration deviennent de plus en plus restrictives, cela pourrait dissuader les abilities de venir aux États-Unis. Ceci, à son tour, pourrait avoir un influence sur l’innovation et la croissance économique, en particulier dans les industries déjà confrontées à des pénuries de main-d’œuvre qualifiées.
Avenir incertain
Alors que les États-Unis resserrent son emprise sur l’utility de l’immigration, le kind de nombreux détenteurs de cartes vertes indiennes reste incertaine. Alors que certains peuvent choisir de se battre pour leur droit de rester, d’autres peuvent choisir de partir plutôt que de supporter le stress et l’humiliation d’être traités comme des invités indésirables dans un pays qu’ils ont appelé à la maison pendant des années.
Pour l’prompt, le message du gouvernement américain est clair: les détenteurs de cartes vertes doivent être vigilants, pleinement conscients de leurs droits légaux et préparés à un examen accru. Alors que les politiques d’immigration continuent d’évoluer sous l’administration Trump, beaucoup craignent que ce ne soit que le début d’une ère plus restrictive pour les résidents permanents.