A24 publie de grands movies, et avec Mort d’une licorne Leur transformer le weird en brillance. Cette dernière offre de la puissance indépendante mélange la fantaisie, la comédie et l’horreur dans un cocktail aussi imprévisible que divertissant. Réalisé par Alex Scharfman lors de ses débuts, le movie prend une prémisse qui ressemble à un rêve de fièvre – Paul Rudd et Jenna Ortega tuent accidentellement une licorne, déclenchant une chaîne d’événements absurdes et sanglants – et le fait fonctionner en quelque sorte. C’est un témoignage de la capacité de l’A24 à trouver des histoires qui défient la conference tout en résonnant avec le public qui a envie de quelque selected de frais.
Le movie démarre avec Elliot (Rudd) et sa fille Ridley (Ortega) en route vers une retraite d’entreprise organisée par le patron de la pharmacie d’Elliot, Odell Leopold (Richard E. Grant). Leur highway journey fait un virage vif lorsqu’ils labourent une licorne, une créature si majestueuse et inattendue que cela ressemble à une punchline pour une blague cosmique. Le charme Everyman de Rudd brille alors qu’Elliot panique, tandis que le scepticisme impassible d’Ortega fonde l’absurdité. La décision du duo de cacher le corps dans leur coffre ouvre la voie à un récit qui est à components égales hilarant et horrible.

Ce qui augmente Mort d’une licorne Au-delà d’un gadget unique se trouve son ensemble stellaire. Will Poulter vole des scènes alors que le fils gâté d’Odell Shepard, une parodie crypto-bro qui renifle la poussière de corne de licorne comme si c’était le dernier médicament de créateur. Belinda Leopold de Téa Leoni suinte le privilège inconscient, tandis que le majordome d’Anthony Carrigan, le majordome de stress, offre une comédie silencieuse. Richard E. Grant, en tant que magnat mourant avec une lueur dans ses yeux, lie la famille avec un mélange de menace. Chaque acteur se penche sur le ton décalé du movie, ce qui rend les moments les plus fous étranges étrangement crédibles.
Le script de Scharfman danse entre les genres avec une confiance à la fois admirable et parfois chaotique. La comédie atterrit durement en quelques instants – comme lorsque les bouffonneries droguées de Shepard entrent en collision avec les propriétés magiques de la licorne – mais l’horreur prend du temps à construire. Quand c’est le cas, c’est un acquire: les dad and mom vengeurs de la licorne prennent d’assaut le domaine Leopold dans une séquence qui fait écho Jurassique avec une touche mythique. Le sang est joyeux, les tués inventifs, et les licornes elles-mêmes sont un mélange frappant de beauté et de terreur, leurs cornes coulant à travers l’écran comme la réfutation de la nature à la cupidité humaine.

Visuellement, Mort d’une licorne est un régal, grâce aux cadres luxuriants et de mauvaise humeur du directeur de la photographie. Les Rocheuses canadiennes offrent une toile de fond étonnante, contrastant l’opulence du manoir de Léopold avec le désert sauvage à l’extérieur. La conception des licornes – effets pratiques mélangés à CGI – se réalise dans leur attract d’un autre monde, bien que certaines coutures numériques le montrent.
En son cœur, le movie est une satire de richesse et d’exploitation, un thème qu’A24 a déjà extrait dans des movies comme Le menu. L’empressement des Léopolds à profiter du sang de guérison de la licorne – transportant tout, de l’acné à la maladie en section terminale – des fages déchirées des titres d’aujourd’hui. Pourtant, la critique ne creuse jamais trop profondément, optant pour des rires larges sur les commentaires nets. C’est un choix qui maintient le movie léger mais qui vous laisse parfois vouloir plus de substance sous l’éclat.

La dynamique père-fille entre Rudd et Ortega fournit une ancre émotionnelle au milieu du chaos. Elliot, un veuf désespéré de sécuriser l’avenir de sa famille, se heurte à la clarté morale de Ridley, créant une rigidity à la fois drôle et touchante. Leur réconciliation, sur le contexte du carnage de la licorne, est étonnamment tendre – un rappel que les movies A24, même à leur plus étrange, trouvent souvent un pouls humain.
Les antécédents de l’A24 pour la livraison des hits restent intacts avec celui-ci. Mort d’une licorne n’est pas leur travail le plus profond ou le plus poli – mais c’est un sacré bon second. C’est le style de movie qui prospère sur sa propre audace, faisant confiance à son public pour embrasser le trajet.
Mort d’une licorne Arrive au Luna Palace Cinemas jeudi 10 avril 2025.
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