Emmanuel Macron a averti que les personnes derrière une obscure d’attaques apparemment coordonnées contre les prisons et le personnel français seront «trouvés, jugés et punis».
Les commentaires du président sont venus après au moins une douzaine d’agressions contre les prisons françaises au cours des trois derniers jours. Dans une attaque, des hommes armés utilisant des armes automatiques ont tiré à l’entrée de la jail de Toulon dans le sud de la France.
Dans d’autres incidents, les voitures ont été allumées et il y a eu des tentatives de vandalisme et d’incendie criminel sur l’hébergement des gardiens de jail.
Dans plusieurs des attaques, l’acronyme DDPF – défense des prisonniers français – a été découvert. Le Parisien a rapporté qu’un prisonnier à libération conditionnelle avait été arrêté dans l’Essonne, au sud de Paris, mercredi matin dans le cadre du groupe.
L’homme aurait fait partie d’un groupe de messages télégramme chiffré lié aux agressions. Un article au nom du DDPF réalisé mardi a indiqué: «Nous ne sommes pas des terroristes, nous sommes ici pour défendre les droits de l’homme dans les prisons.»
Telegram a déclaré qu’il avait maintenant supprimé tous les messages et a déclaré que l’appel à la violence et aux menaces était «explicitement interdit».
Les médias français ont décrit les attaques comme une «déclaration de guerre» par les cartels de la drogue après que le gouvernement a annoncé une répression contre les trafiquants et une durcissement des situations pénitentiaires pour les pingis qui opéraient dans des prisons.
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a annoncé son intention de placer 200 trafiquants condamnés dans de nouvelles prisons ultra-haute sécurité cet été, où ils seront isolés avec un accès limité aux visiteurs et aux appels téléphoniques. Les ministres sont préoccupés par les condamnés de drogue condamnés qui continuent de gérer leurs réseaux derrière les barreaux.
« Certaines personnes tentent d’intimider notre personnel pénitentiaire et d’attaquer nos établissements pénitentiaires avec une violence inacceptable. Ils seront trouvés, jugés et punis », a écrit Macron sur X.
Il a ajouté que les forces pénitentiaires «réalisaient sa mission essentielle de défendre l’état de droit et de maintenir la paix avec braveness et dévouement».
Après la promotion de la e-newsletter
« Je reformuche mon soutien complete et celui de la nation à tous les brokers du ministère de la Justice », a écrit Macron.
Trois véhicules ont été allumés devant la jail de Tarascon tôt mercredi matin dans l’une des dernières attaques.
L’unité anti-terroriste spécialisée française a été amenée pour enquêter sur les attaques. Il a indiqué dans un communiqué qu’il avait été attribué à l’enquête – au lieu des enquêteurs criminels – à trigger de la «nature des faits, des cibles choisies et de la coordination des actes commis à plusieurs endroits».
Dans une interview mercredi, Darmanin a déclaré que les assaillants tentaient de «déstabiliser et intimider l’État».