Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, est à Washington pour une deuxième réunion avec Donald Trump depuis le retour du président américain, où le couple devrait discuter de la guerre de 18 mois à Gaza, de la menace nucléaire iranienne et des tarifs américains.
Trump a accueilli Netanyahu à la Maison Blanche lundi après-midi avec une poignée de major ferme avant de tenir des discussions privées. La Maison Blanche a annulé une conférence de presse conjointe qui devait avoir lieu par la suite, sans offrir une explication immédiate.
Avant sa rencontre avec Trump, Netanyahu a rencontré l’envoyé spécial américain au Moyen-Orient, Steve Witkoff. Il a également rencontré le secrétaire américain au commerce Howard Lutnick et le représentant du commerce américain Jamieson Greer dimanche soir à Washington. Le gouvernement israélien a décrit cette dernière réunion comme «chaleureuse, amicale et productive».
Netanyahu, annonçant la réunion de dernière minute dimanche, a déclaré qu’il se rendait à l’invitation de Trump à parler des efforts pour libérer des otages israéliens de Gaza, ainsi que de nouveaux tarifs américains.
La réunion sera le premier effort d’un chef étranger à négocier un accord après que l’administration Trump a annoncé des tarifs de balayage sur de nombreux pays la semaine dernière, y compris un tarif de 17% sur les produits israéliens.
Les États-Unis sont l’allié le plus proche d’Israël et le plus grand partenaire industrial distinctive. Israël avait espéré éviter les nouveaux tarifs en déménageant pour annuler ses tarifs restants sur les importations américaines un jour avant l’annonce de Trump.
« Je suis le premier chief worldwide, le premier chief étranger, qui rencontrera le président Trump sur la query, ce qui est si essential pour l’économie israélienne », a déclaré Netanyahu dans un communiqué. «Je pense que cela reflète le lien personnel spécial, ainsi que les liens spéciaux entre les États-Unis et Israël, ce qui est si very important pour le second.»
Lors de la dernière visite de Netanyahu en février, Trump a choqué le monde en proposant de prendre le contrôle de la bande de Gaza, en supprimant plus de 2 tens of millions de Palestiniens et en réaménageant le territoire occupé comme une «faille du Moyen-Orient», approuvant en effet le nettoyage ethnique du peuple de Gaza.
Depuis lors, Israël a repris son bombardement à Gaza, s’effondrant près de deux mois de cessez-le-feu avec le Hamas qui avait été négocié par les États-Unis, l’Égypte et le Qatar.
Selon les responsables de la santé palestiniens, près de 1 400 Palestiniens ont été tués dans les opérations israéliennes renouvelées à Gaza, faisant le nombre complete de morts depuis le début de la guerre à plus de 50 000. Israël a également interrompu toutes les fournitures de nourriture, de carburant et d’aide humanitaire à Gaza.
La visite de Netanyahu aux États-Unis vient alors qu’il fait face à la pression à domicile pour revenir aux négociations de cessez-le-feu et garantir la libération des otages restants à Gaza. Il a déclaré la semaine dernière qu’Israël «saisissait le territoire» et avait l’intention de «diviser» la bande de Gaza en construisant un nouveau couloir de sécurité, enflammant les craintes qu’Israël ait l’intention de prendre le contrôle everlasting de la bande à la fin de la guerre.
Netanyahu est arrivé à Washington dimanche soir de Hongrie, après une visite officielle de quatre jours qui a marqué la première visite du chief israélien dans le sol européen depuis que la Cour pénale internationale (ICC) a émis un mandat d’arrêt contre lui concernant des allégations de crimes de guerre à Gaza.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a clairement indiqué qu’il défierait le tribunal pour accueillir Netanyahu et a annoncé qu’il retirerait la Hongrie de la CPI parce qu’elle était devenue «politique». Les États-Unis ne sont pas un membre de la Cour.