Extrapolé sur 82 matchs, l’équipe avec un joueur largement reconnu comme le expertise le plus transformateur pour entrer dans la NBA en deux décennies a joué à un rythme de 28 victoires sur deux saisons.
La « tour d’étouffement » n’était pas dans la soirée de l’alignement lorsque les Spurs ont fait leur seule visite à Toronto dimanche soir, et il ne sera pas le 13 avril lorsque les Raptors feront leur seule visite à San Antonio sur ce qui sera le dernier jour de la saison régulière. Wembanyama a été fermé pour le reste de la saison depuis qu’il a été diagnostiqué avec un caillot de sang dans son épaule pendant la pause des étoiles, bien que le pronostic à lengthy terme semble positif pour la famous person en herbe, heureusement.
Non pas que le fait d’avoir ou de ne pas jouer à Wembanyama ait été tangiblement significatif pour les résultats des Spurs: ils sont 13-22 dans les matchs qu’il a manqués sur deux saisons, ce qui se traduit par un rythme de 30 victoires.
Cependant, c’est surtout une bizarrerie. Les Spurs étaient si mauvais la saison dernière que Prime Michael Jordan n’aurait pas fait autant de différence, et cette année, ils ont fait un effort pour ajouter des vétérans de qualité – Chris Paul, Harrison Barnes, De’aaron Fox (également réalisé pour la saison) pour s’assurer qu’ils avaient un meilleur casting de soutien autour de lui, ce qui les a aidés à garder au-dessus de l’eau quand il n’a pas joué, pour la plupart.
Le nombre plus révélateur est que les Spurs ont été de près de 9,8 factors de meilleure pour 100 possessions lorsque Wembanyama est sur le sol que lorsqu’il n’est pas cette saison, et la différence était de 6,9 factors / 100 la saison dernière. Son impression est vital.
Mais le level demeure: en ce qui concerne l’accumulation de victoires, il faut bien plus qu’un expertise générationnel que même les joueurs de la NBA décrivent comme un extraterrestre – pour sa combinaison de hauteur (sept pieds, trois pouces et demi), Wingspan (estimé à huit pieds) et les compétences (il a fait trois premiers matchs à trois ans) – pour transformer un contour plus bloqué que n’importe quel joueur au cours des 35 dernières années) – pour transformer un contour plus bloqué que tous les joueurs.
Quelque selected qui mérite d’être gardé à l’esprit même si les Raptors – tombant dans le trou noir décalé de jet, de nombreuses équipes font après être revenus d’un highway journey de la côte ouest – étaient du mauvais côté d’une éruption 123-89 aux éperons sans Wembanyama.
Plus tôt dans la journée, de nombreux yeux de la NBA ont été accordés au match de Duke-Baylor au deuxième tour du tournoi NCAA, le concours le plus riche en prospects de March Insanity jusqu’à présent.
Les Raptors adoreraient que les 50 pertes qu’ils prennent à la fin de la saison finissent par remporter la loterie du repêchage et utiliser leur premier choix international sur le consensus n ° 1 Cooper Flagg. Perdre face à San Antonio a déposé le document de Toronto à 24-47 et le maintient avec le septième document de la ligue, une likelihood de 7,5% de choisir en premier et 32% de possibilities de choisir dans le high quatre.
Flagg a récolté 18 factors, neuf rebonds et six passes décisives en 29 minutes alors que Duke se dirigeait vers le Candy 16 avec une victoire de 89-66 qui n’a jamais été en doute. Son jeu polyvalent est une des équipes de la NBA peut rêver.
La star de Baylor VJ Edgecombe – largement attendue dans le high quatre – a récolté 16 factors sur six des 12 tirs. Duke Large Man Khaman Maluach – un étudiant de première année de sept pieds deux qui ressemble à le style de présence qui pourrait ancrer une défense de la NBA pendant une décennie environ et pourrait être disponible en dehors des quatre premiers où les Raptors choisiront très probablement – ont eu huit factors, cinq rebonds et deux blocs dans ses 23 minutes.
Tous les grands noms du repêchage et sans aucun doute plusieurs joueurs avec moins de buzz aideraient une équipe comme les Raptors, cela ne fait aucun doute.
Mais la quantité de différence immédiate que toute recrue de la NBA peut faire est discutable. Comme les Spurs l’ont appris à l’époque de Wembanyama, même la plus grande perspective d’un quart de siècle ne peut pas secourir une équipe par lui-même.
C’est pourquoi ce que les Raptors font depuis deux mois ont été si encourageants – dimanche soir prouvant l’exception plutôt que la règle. Il existe de nombreuses façons de déclarer le cas, dont le moindre n’est pas que même après avoir été fessée dimanche, Toronto est 16-16 depuis le 13 janvier après avoir commencé la saison 8-31.
Leur poussée de deuxième mi-temps a peut-être atteint un sommet avec leur efficiency contre les Golden State Warriors chauffés par le rouge jeudi alors que les Raptors – même en désaccord et donnant de nombreuses minutes aux recrues, aux joueurs à double sens et aux récents signataires – ont poussé les Warriors à la limite. Tellement que le vétéran de Golden State Draymond Inexperienced a reconnu les Raptors et l’entraîneur-chef Darko Rajakovic dans ses commentaires d’après-match.
« (Je) pense qu’il est un entraîneur incroyable », a déclaré Inexperienced, qui plaisantait avec Rajakovic au sujet du plan de match des Raptors, qui a appelé à abandonner le Large Man Warriors sur la ligne des trois factors. «Il a fait jouer à ces gars du dur.
Et bien que se soit battu si mal par les Spurs, ne peut pas être repoussé – apprendre à rivaliser à travers les bizarreries du calendrier est une compétence NBA qu’une jeune équipe doit maîtriser aussi sûrement qu’ils font un plan de jeu défensif ou un rapport de dépistage – Rajakovic est justifié de prendre une certaine satisfaction dans ce que les Raptors ont fait les deux derniers mois, dont les performances contre les Warriors ont été emblématiques.
« Nous en avons parlé à plusieurs reprises, en termes de jouer contre de très bonnes équipes et de voir où nous sommes et quels sont les domaines à améliorer… », a déclaré Rajakovic. « Nous en avons beaucoup parlé, pour nous, il est vital d’avoir ces matchs contre de grandes équipes, il y a tellement de choses à apprendre, remark fermer le jeu, remark faire l’offense à la fin, remark faire un arrêt quand vous avez vraiment besoin de faire un arrêt. Donc, c’était un jeu vraiment bénéfique pour nous et (je suis) très fier de nos gars. »
Bien que cela n’ait pas été génial pour leur place à la loterie du repêchage – à leur bas niveau cette saison, les Raptors avaient les troisième meilleures cotes – il a été un indicateur positif que les Raptors n’auront pas à troller au bas du classement pendant longtemps avant de revenir à une model de pertinence concurrentielle, au moins dans la Conférence de l’Est.
Il y avait moins de devoir dimanche. Jouant leur premier match après un voyage sur la route de la côte ouest de 10 jours, les Raptors avaient l’air léthargique pour de longues tronçons, une rareté cette saison. Toronto a baissé de 20 factors après le premier trimestre, après avoir rendu plus de revirements (10) que des buts sur le terrain. Les choses ne se sont pas améliorées après cela alors que Toronto traînait 62-40 à la moitié et a pris du retard jusqu’à 32 pour commencer le quatrième.
Mais ce style d’efforts a été rares et peut presque toujours être attribuable aux combinaisons de blessures, de calendrier, de fatigue ou de maladie. Les progrès du cours de recrue de cinq membres des Raptors ont été encourageants, à savoir Jamal Shead dimanche qui a récolté un sommet en carrière de 17 factors et six passes décisives à la place d’Immanuel Quickley, qui reposait avec Jakob Poeltl. Scottie Barnes proceed de faire des progrès au cours de sa quatrième saison, il a terminé avec 22 factors, six passes décisives et six rebonds, bien que ses six revirements aient donné à sa ligne une symétrie malheureuse. Et sous Rajakovic, les Raptors ont presque uniformément joué dur et cohérent cette saison.
Il s’agit d’une preuve suffisante pour être optimiste qu’avec l’ajout de retour de Brandon Ingram (qui progresse dans sa réadaptation à partir d’une blessure à la cheville, mais n’est toujours pas proche de revenir) et peut-être l’un des grands noms du tournoi NCAA ajouté à la liste, la tournée des Raptors à travers NBA Purgatoire pourrait être de courte durée.
Mais comme les Spurs et Wembanyama l’ont démontré au cours des deux dernières saisons, une recrue – même une perspective aussi grande que la star des Spurs ou ce que Flagg projette – ne rendra pas toute sa propre équipe NBA.
La bonne nouvelle est que les Raptors pourraient ne pas avoir besoin de se retourner autant qu’on le pensait précédemment.
